Quelle robe pour la mère de la mariée ?

admin — Fri, 13 Oct 2017 06:51:21 +0000

Après la mariée, sa mère serait probablement la deuxième femme la plus heureuse pendant le jour J. Cette personne doit ainsi porter une tenue à la hauteur de son bonheur. Voici quelques conseils pour bien choisir la robe de la mère de la mariée.

Modèle glamour avec les épaules recouvertes

Noblesse oblige, la dame a intérêt à s’habiller avec les épaules recouvertes. Être plus sexy que la mariée elle-même serait juste déloyale. Cependant, la mère de la future madame pourra choisir une robe qui met sa morphologie en valeur. Les coupes peuvent être matures, mais rester près du corps, notamment au niveau de la taille. Pour les couleurs, elle aura le droit de porter tout ce qu’elle veut à condition de ne pas trop s’éloigner du thème du mariage. En effet, il faudra se souvenir qu’à l’église, elle fera partie du cortège. Pendant le banquet, elle s’assoira à la table d’honneur. Une tenue qui inspire une certaine maturité sans pour autant effacer son charme naturel serait la mieux indiquée.

La robe à boléro ou à bustier

Concrètement, la mère de la mariée pourra porter une robe avec un petit boléro. Cette tenue rappelle le temps où la maman de la mariée devait porter un costume deux pièces et un chapeau. Désormais, elle peut opter pour une robe et un petit boléro assorti. Autrement, une coupe bustier devrait également convenir si elle est suffisamment mince. En tout cas, son décolleté pourra descendre suffisamment bas pour monter qu’elle a un beau collier. Pour rappeler le faste de la journée, la mère de la mariée pourra porter un tissu épais doré, écru ou de la soie. Sinon, elle aura également la liberté de se tourner vers une étoffe beaucoup plus légère. Si elle a de l’embonpoint, la mousseline pourrait l’atténuer.

Le tatouage : un véritable art graphique

admin — Thu, 11 May 2017 06:51:21 +0000

Le tatouage a existé depuis la nuit des temps. Si auparavant, il symbolisait une culture et ne faisait que côtoyer l’art, aujourd’hui, c’est un véritable métier d’artistes qui mettent en avant leurs compétences et connaissances graphiques, pour décorer la peau et en faire, un tableau d’art contemporain ambulant.

Origine du tatouage

D’après les historiens et les anthropologues, le tatouage a existé depuis la préhistoire. Ces derniers avaient eu connaissance d’une momie qui dataient de 5300 ans avant Jésus Christ, et qui était déjà marqué par des tatouages. En ce temps-là, le tatouage était utilisé à des fins médicinales et permettaient de guérir les maux au niveau des articulations. Les Égyptiens, au temps des pharaons, étaient également de grands adeptes de cette inscription graphique sur la peau. On a également pu découvrir, en 2200 avant notre ère, une momie avec un corps entièrement dessiné par des graphiques qui étaient sensées être des motifs religieux. Malgré ces découvertes, force était de constater que c’était surtout en Polynésie que le tatouage a le plus évolué. Dans les îles qui constituent cet archipel, le tatouage a beaucoup de signification sociale et culturelle. Et dans les îles Marquises, on a pu rencontrer pour la première fois, le tatouage sous sa forme esthétique et artistique.

Une nouvelle perception à partir du 19e siècle

À partir du 19e siècle, le tatouage a été considéré comme un art populaire. Les artistes tatoueurs organisent même des rencontres entre eux à travers le monde, afin de partager leurs expériences et leurs modes opératoires pour réaliser des chefs-d’œuvre uniques. Ainsi, si le tatouage a été considéré comme un art underground adulé par les chanteurs au 19e siècle, dès 1980, il a été vulgarisé pour devenir, un véritable phénomène de mode véhiculé par des millions de boutiques de tatouage, réparties à travers le monde.

Look – Adrhess

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